Première sortie dans Hội An

En solo, après avoir pris mes aises à l’hôtel. Beaucoup de touristes, j’entends même du français ça et là. Très coloré et fleuri. Mais l’intérêt est historique et architectural. Je pense que je vais me limiter en photographies demain et en dire le moins possible pour éviter les spoilers.

Demain, visite guidée. Et repérages cet après-midi, puis ce soir. L’on peut circuler à pied, mais le pont étant un monument, il faut acheter des billets pour le traverser et visiter la pagode à l’intérieur. Les billets sont trouvables à différents endroits (sortes d’échoppes touristiques).
La densité de lieux historiques est grande, quelques quarts d’heures sont nécessaires à l’étude du plan et de sa signification.

Au retour, deux vieilles vendeuses de fruits m’abordent, pour se faire prendre en photo, puis me forcer à acheter leurs denrées. Et c’est cher, le prix d’un bon repas. J’ai beau dire « đắt », elles font mine de ne pas comprendre.
Petites bananes et ramboutans, qui sont en fait excellentes. On va dire qu’elles ont bossé pour les sélectionner.

Il faudra que je méfie. On est pas à Saïgon, mais je reste un pigeon potentiel.

Le pont-pagode, symbole de l’union sino-nippone, au pays Chăm-Việt.
Un des gardiens
Vue de l’extérieur
Vue depuis le pont « non payant »

Les bâtiments sont de style chinois médiéval, mais ici, c’est rénové/neuf.
Quand on arrive depuis l’hôtel : la rivière, vue sur l’ancienne ville
Deux petites vieilles qui connaissent bien leur business…