Go East ! (en passant par Paname)

Merci Pôpa pour m’avoir amené à 4h20 à l’aéroport St-Ex !

La valise a été enregistrée et est partie en soute. Confirmation est donnée que la totalité des bagages en cabine ne doivent pas dépasser 12 Kg. Le total faisait 15. Au guichet, la dame m’a affirmé que je n’avais pas à m’en occuper pendant la correspondance à Paris Charles-De-Gaule. Croisement de doigts, on retrouvera donc les fringues à l’arrivée à Saïgon (ou pas).

On ne patiente pas trop avant l’embarquement, vu les queues aux points sécurité (toujours un peu peur, mais Flaubert semble bien résister aux rayons X et Z), lors du passage à la douane (« bonjour » – lecture du passeport – « merci, bonne journée »), et les longues marches tranquilles pour atteindre la bonne porte.

Petit doute pour la porte M50 : la partie M du terminal 2E n’est pas indiquée à un endroit, pourtant il fallait continuer après la partie L et prendre le mini-métro.
Roissy CDG-2 a bien évolué depuis 30 ans. Si mes souvenirs sont bons, il n’y avait que les terminaux A, B, C et D.

Sinon, l’avion c’est marrant, surtout au décollage et atterrissage, quand le vent s’en mêle. Le vol a été calme et réglé comme une horloge suisse. Des lumières nocturnes de Lyon, on est passé en 45 minutes au temps pourri parigot.

Là, en attente sur une chaise longue jaune, les heures défilent assez rapidement. Il est 9h53, le gros des passagers n’est pas encore arrivé. Ne sont là que des voyageurs en transit, dont ma pomme. Je manque de sommeil, avec déjà deux nuits courtes ; venir tôt en avion plutôt que tard en TGV était finalement une bonne solution. Je vais être tellement vanné dans l’avion vers Saïgon que ce sera dans les bras de Morphée. Et assez pratique vu le décalage horaire que l’on va se prendre dans les neurones (6 heures en moins).

Prochain article à l’arrivée à l’hôtel. Mais Possible que je rajoute une photo ou deux ici.

Lyon St-Ex : première chose, repérer les guichets qui vont bien.
Un beau bébé : A320
Oh, ça bouge !
Atterrissage à Paname
Celui-là va décoller, mais on va passer devant lui avant.
La présence de roulettes est un plus sur les valises, vu les distances monstrueuses à parcourir.
Affichage à la porte d’embarquement
Pas aussi crévé qu’après une Alchimie, mais presque.
Le terminal 2F par lequel on arrive est en haut à gauche. Le point bleu est la porte M50 du terminal 2E.
La tentation est forte !