Palais An Định

Il se trouve à quelques mètres du marché An Cựu. Une dame à la billetterie et deux gardes, dont l’un s’ennuie sur le système de vidéo-surveillance.

Je suis le seul visiteur. Le château rien que pour ma pomme ! Interdiction de photographier l’intérieur, qui ressemble à du baroque. Salle d’entrée avec cadres dorés façon baroque, peintures représentant des jardins. Mobilier reconstitué, une table et deux bergères ressemblent furieusement à celles chez Môman. Le carrelage est notable, ainsi que la fausse tapisserie, qui est en fait de la peinture murale, aux motifs français.

Le palais date du début 20ième siècle. Plus d’informations sur la page wiki.

Des photos de la famille impériale. L’une des filles de Bao Dai me fait penser à ma cousine Christine.

Dommage que l’on ne puisse pas visiter plus haut que le premier étage. L’organisation interne ressemble à celle du Palais de la Réunification à Saïgon. Les salles sont toujours hautes et entourées de corridors et de portes.

La « reine mère » y séjournait encore du temps de Papy. Vu la proximité, la famille a pu voir certains fastes de cour.

Cela n’a pas l’air d’être la bonne porte.
Ah, la voilà, mais fermée.
Plus loin, en symétrie par rapport à la première porte rencontrée.
L’entrée se fait par une grille à la française. Une dame au guichet, deux gardes, et uniquement ma pomme en visiteur.
Rien que pour ma pomme ? I am monarch of all I survey.
La face intérieure de la porte principale.
Kiosque, entre porte et bâtiment, avec la statue du fondateur de la bâtisse : l’avant-dernier empereur Khải Định.
Le style passe mieux que son complexe funéraire.
Vue du parc immense derrière.
Une allée, entre deux bassins.
Le soleil tape. Peu de zones ombragées.
Et un jardin très agréable.
La façade nord mériterait un bon coup de pinceau.
Plus loin du palais, une vieille porte ouverte, donnant sur un paravent, on distingue un dragon.