Après un petit déjeuner à l’hôtel, ce fut la visite avec la guide. Venue plus tôt par rapport à l’heure indiquée. Comme le chauffeur à Saïgon, je crois que je vais continuer de prévoir l’arrivée prématurée des intervenants. Comme promis pas de photos, il est préférable de venir (et accessoirement faire marcher le commerce). Des points importants se situent dans la ville historique, et il est effectivement besoin d’un guide pour vraiment découvrir l’intérieur de certains bâtiments.

L’on est aussi passé par le marché local, dont les gargotes semblaient bien alléchantes.

Le tour s’est terminé en fin de matinée. J’ai dit à la guide que j’allais me perdre un peu, mais en fait, il y avait sur la carte google une zone de verdure en pleine ville qui m’avait intéressé, lors des repérages virtuels. Donc marche direction ouest-nord. Et de constater des changements par rapport aux données numériques : des bâtiments et du bitume grignotent les parties agraires. Finalement, avec prudence, je me faufile entre les parcelles où le riz est cultivé.
Il y a quelques chemins à pied, et un en béton. Des buffles paissent tranquillement sur des zones non cultivées, et me regardent comme une anomalie dans le paysage. Quelques tombes aussi. Papillons, petites fleurs, et des coccinelles minuscules sans tâches.

Retour vers Hội An, tranquillement, je passe le pont qui relie l’ile de Câm Nam. Une pharmacie est bienvenue, je commence à manquer de pansements, la peau de mes pieds étant trop fine pour les tongs.

Retour à l’hôtel, non sans avoir avalé quelques spécialités aux restaurants du marché.