« Au Café » bien caché près du pont. Je demande « ăn cơm », terme générique, mais le restaurateur comprend que je veux du riz comme plat. Je ne sais absolument pas ce que j’ai pris sur la carte, à part qu’il y a des fruits de mer.
Et un thé vert chaud. Ça au moins, c’est sûr.

Je me retrouve donc avec un riz cantonnais ! Vu que la ville était un peu chinoise, c’est logique. C’est heureux car j’avais besoin de glucides.

Le thé vert est servi avec du miel au goût de fruits. Des tranches de gingembre frais se trouvent au fond de la tasse.

Quelques essais de friandises achetés aux marchandes de rue.

Bonne surprise avec le gâteau à la mangue. Par contre, le Chè glacé est passable. La vendeuse se barre avec ses collègues, me laissant seul et dubitatif. Je commence à associer la couleur noire des morceaux l’agar-agar du Chè avec la couleur de l’eau qui passe sous le pont. Et laisse la cuillère en métal sur le bar à côté.

Il faut la jouer « nonchalance », ici comme ailleurs dans ce pays.