Non pas que je déprécie cette ville, mais ça devient vraiment la foire à touristes. Le pays a besoin de devises, mais la concentration de millionnaires en VNĐ dans cette ville gâche un peu son charme. Ce sera bien que les autres sites d’intérêt culturel et architectural se développent. Par exemple, Huế la studieuse dispose d’une multitude d’endroits inexploités.
Bon, je suis à Hội An pour le point de chute : visite du sanctuaire de Mỹ Sơn, repos, balade aux alentours en vélo (gratuit de l’hôtel), achat de petits cadeaux s’il reste de la place dans la valise… Cela tombe bien, boutiques à foison dans la vieille ville. Par contre, pour l’intérêt culinaire, ça pourra pas le faire. Le reste de la journée du vendredi sera sous le signe de la nausée. La moindre odeur ; encens, fumées de grillades et bouffe chaude, me retourne l’estomac.
Seule chose possible à ingurgiter : le très froid (donc inodore), sucré et gras. Donc à la recherche d’une café-glacier via TripAdvisor, trouvé au Tam Tam Café. Crème glacée durian et vanille, plus un lassi ananas. Un peu téméraire avec le durian (ça va, aucune odeur) et des produits à base de lait. Le ventre tiendra le choc. Ce sera la seule nourriture pour cette journée.
Retour tôt dans ma chambre d’hôtel après la petite promenade, il commence à faire un peu frais. Dodo à partir de 18h. Ambiance Club Med à l’hôtel : les jeunes européens rentrent à 3h-4h du matin avec un taux d’alcool conséquent.