Pôpa a conseillé une petite valise, modèle cabine, même si je pense qu’elle ira en soute : une casquette noire, quelques t-shirts blancs, deux t-shirts colorés, le sweat-shirt bleu léger en chanvre à manche longues, trois chemises blanches, deux paires de chaussettes, la paire de tongs increvable qui fait tous les étés, des boxers pour 15 jours, un bermuda beige blindé de poches, deux pantalons slim légers que l’on peut remonter jusqu’au genoux.
Les lieux comme les pagodes, églises et lieux mémoriels demandent une tenue correcte : les genoux et les épaules doivent être couverts. Ainsi, short court et débardeur sont mal vus sur des adultes. Dans la même veine, je crois que le style et couleurs miliaires (vert kaki, motif camouflage, etc) seraient déplacés.
Toujours dans le même conteneur, on ajoute de la confiserie en cadeau. Même mon sac noir en bandouillière rentre. Cool, car je pourrai me promener avec Flaubert à toutes heures.
Le tout ne dépasse pas 10 Kg. J’ai droit à un total de 30 Kg. Il y a de la marge. Les conseils donnés pour les vêtements sont « porter léger et ample ». Les hôtels ont généralement un service de blanchisserie. Certains voyageurs partent même valises vides et achètent sur place.
En fait, le plus lourd des vêtements sera porté dans l’avion : jeans épais, baskets légères, pull, ceinture de cuir noir… de quoi affronter la fin de l’hiver. Peut-être une écharpe fine. Mais pas besoin d’emporter de veste, il n’y aura pas en principe à attendre dans le froid à l’aéroport.

Au niveau du sac à main, plutôt une valisette, la pléthore de petites chose semble rentrer aussi. Flaubert et les autres geekeries, la tondeuse à barbe, le rasoir électrique pour les cheveux, les médocs, les produits d’hygiène (réunis en sac fermé, chaque flacon ne dépassant 100 ml), les lentilles de contact journalières (un rendez-vous chez l’ophtalmo pour en obtenir, 1 boite de 30 jours par oeil), lunettes de vue et de soleil, bouquins de poche, etc.
Cela va faire dans les 5 Kg.

Diverses règles sont imposées par les compagnies aériennes, mais il restait quelques imprécisions : quid pour le parfum ? Autorisé en petite quantité sur Air France, mais rien de précisé sur Vietnam Airlines sauf au niveau de l’interdiction des inflammables. Du coup, ce sera un déodorant solide sans aluminium et sans alcool. Pas de gel hydro-alcoolique non plus pour se nettoyer les mains.
Même problème pour la brosse à dent électrique : à batterie donc en cabine, mais elle peut être plus dangereuse qu’un couteau si l’embout est retiré. Le downgrade vers la brosse manuelle va être dur. Quelques chewing-gum sont là, même si la dentiste ne les aime pas.

Checklist demain pour vérifier si j’ai rien oublié…