En fait, j’avais plus peur de manger du Bánh chưng que de monter un scooter. Au grand regret de Cha, cette spécialité du Tết passe toujours en travers de ma gorge : je subis le réflexe de régurgitation, au même titre que la purée de pomme de terre à la française. J’aimerais aimer ce plat, mais chaque fois que j’avais essayé, ça ne voulait pas entrer dans l’estomac.
Sans doute la piètre qualité des Bánh chưng fabriqués en France. A la fin de la courte visite, mon guide Giang en achète deux qu’on dégustera dans un restaurant pour le déjeuner. Verdict au déjeuner, donc.




