Fabrique de Bánh chưng

En fait, j’avais plus peur de manger du Bánh chưng que de monter un scooter. Au grand regret de Cha, cette spécialité du Tết passe toujours en travers de ma gorge : je subis le réflexe de régurgitation, au même titre que la purée de pomme de terre à la française. J’aimerais aimer ce plat, mais chaque fois que j’avais essayé, ça ne voulait pas entrer dans l’estomac.

Sans doute la piètre qualité des Bánh chưng fabriqués en France. A la fin de la courte visite, mon guide Giang en achète deux qu’on dégustera dans un restaurant pour le déjeuner. Verdict au déjeuner, donc.

Riz gluant
Feuilles de bananier
Farce
On s’aide d’un mixeur.
Cuiseurs, on laisse chauffer au bois ou charbon toute la nuit. La pièce doit être suffocante quand ça cuit.