Canh Đỗ Tương

Servi dans un pot en fonte très chaud. Le plat mijote encore quand le serveur vient l’apporter.
Tofu, pimenté, oignons, courgette, germes de soja et coquillages (il y a encore les coquilles au fond). On pense à des moules marinières en version coréenne. Coréen, parce qu’il y a des amuses-bouche typiques (à picorer quand on a envie).
Servi avec un petit bol de riz sésame. Se mange apparemment dans un petit bol, l’on verse un peu de cette potée, le gros restant chaud dans le plat en fonte, et l’on y fait tremper le riz un peu avant de l’avaler.
Climax de piment à la fin. C’est dosé comme il faut (c’est à dire bien corsé).

Avant, au même restaurant, un smoothie mangue (« Sinh Tố Xoài »).

Mais avant de trouver ce restaurant (qui proposait aussi des makis nippons), je me suis arrêté au « Chè Ngon »… pour un Chè Thập Cẩm : lait coco et glaçons en haut, haricots rouges au fond, et au milieu un fruit bizarre et doux au palais (durion ?), avec quelques trucs translucides, sphériques et qui semblent être aussi un fruit.
Seul à déguster, vu l’heure tardive. Les demoiselles préparaient les ingrédients au fond de la salle, en écoutant la télévision, et s’occupant d’un enfant en bas âge.