Autant ne pas courir et s’abriter dans un café sur le chemin. C’est celui où mon guide m’a amené, son café habituel où il emmène les touristes étant fermé pour raisons familiales.
La jeune serveuse est aux petits soins avec ma pomme. Ventilateurs branchés en ma direction, thé servi d’emblée. Elle sera étonnée par le pourboire que je lui laisserai.
Je profite de la pause assise pour emballer Flaubert dans ses deux sacs plastique « étanches » de cuisine, ainsi que les iBidules. La pluie arrive. Mais c’est surtout du vent et un peu de tonnerre. L’asphalte est tellement chaud que l’eau ne l’assombrie pas.
Retour à l’hôtel, toujours par la porte Thượng Tứ et le pont qui va bien.